JAVA - YOGYAKARTA : La Java la plus belle... celle qui ensorcelle...

De mardi 9 mai au samedi 13 mai

Le nom officiel est NGAYOGYAKARTA HADININGRAT. Promis on abrège : ce sera simplement YOGYA ou « Djojya » comme l’appelle les Indonésiens.  Elle compte environ 400 000 habitants. Et c'est en train, depuis Jakarta, que nous arrivons.



À notre grande surprise, les wagons sont très confortables L’inconvénient mais aussi l’avantage du train en Indonésie, c’est qu’il n’est pas très rapide (7h pour un peu plus de 300 km). Cela nous laisse le temps, quand nous ne somnolons pas, de regarder par la fenêtre les paysages : bidonville de Jakarta, riz et encore du riz, montagne...
 



















On arrive...




On a choisi une guesthouse dans le quartier de Sosrowijawan : cet endroit qui fourmille d’hôtels et de guesthouses se situe juste au sud de la gare ferroviaire et à côté de l’artère principale de la ville, la Jalan Malioboro. Pas mal un petit plongeon après avoir crapahuté !



On a l'intention de découvrir la ville, mais aussi les environs... Et on utilise tous les moyens locaux...











Une cahute surélevée de bus (version réduite, pas comme à Jakarta !)...



 et de jolies voisines...




 




Mais pas pour nous la moto !!!
 




La ville est connue comme centre de l'art classique javanais et de la culture traditionnelle comprenant le théâtre d'ombre wayang kulit, le batik, le ballet, le théâtre, la musique, la poésie... C'est également un lieu d'étude, avec diverses universités.

Yogya est aussi l’une des rares terres princières de Java. La ville abrite un sultan, Hamengku Buwono X, qui habite toujours dans son beau palais, le Kraton, dans le centre-ville, au bout d’une immense place qui se compose de pleins de petits bâtiments et de kiosques au cœur d’un jardin.

Les gardes du sultan patrouillent, armés de leurs kriss (dague traditionnelle). Tous les hommes javanais ont un kriss, symboliquement pour se protéger et protéger leur famille. Ils possèdent également des oiseaux en cage devant leur maison pour montrer leur responsabilité et leur capacité à prendre soin de leur famille (s'ils oublient de nourrir l'oiseau une fois, il peut mourir dans la journée).













 Ici, on mange à tous les coins de rue... Mais assis par terre, hum ! hum ! c'est pas notre truc !!!











Et le soir, on recherche la fraîche..



 




Et dans  quel état retrouve-t-on Maguy après ces journées intensives !





A suivre : JAVA : Un café de merde !

Pratique : (Rappel : 1 € = 15 000 rp environ)
  •  Train :  Le billet acheté en France payé par carte bancaire nous a été débité : 48,50 €/2 en Executive
    Train Argo Dwipangga 10 - Départ à 8h00 -  Arrivée à Yogya (Tugu) à 15h39
    Nous avons déjà acheté nos billets de train pour Yogyakarta sur le site tiket.com. On a donc un "voucher" (billet temporaire avec code).  Arrivés à la gare, il faut  présenter ce code devant un écran qui  déclenchera l'impression du ticket. C'est rapide. Et il y a toujours quelqu'un pour nous aider... On doit se présenter avec le billet au contrôle à l’entrée des quais avec son passeport.
    Les chemins de fer locaux sont  très réglementés et très efficaces : trains a l'heure, confortables, propres, restauration possible à bord.(30000 rp le repas). Moyen de transport très agréable.
  • Hébergement (4 nuits à Yogya) :
    Nous comptions aller au Bladok Losmen, sur Jl. Sosrowijayan 76. Mais nous avons été intrigués par le fait qu'il n'y ait personne (chambres libres, personne au restaurant, pourtant recommandé dans les guides...) De plus pas de Wifi...
    Nous sommes allés à côté au Karunia
    78, Jl Sosrowijayan Hôtel - Pas bien (nous ne sommes restés qu'une nuit) - 170 000 rp
    Finalement nous avons pris le Gloria Amanda
    Jl. Sosrowijayan GT  No.195 pour les 3 nuits restantes : 200 000 rp la nuit avec Petit Déj-buffet à volonté, laverie bon marché et rapide - Piscine. Très bien -
    Les chambres sont disposées le long d'une galerie, avec ouverture sur cette galerie...  Un peu de bruit vers 6h-6h30 au départ des groupes.



 

2 commentaires:

  1. Ah mais les rizières, ça vous connait : on en a déjà vu de merveilleuses photos, du Vietnam je crois.
    Que fait cette dame : elle cherche des poux ? (tant que ce n’est pas à vous).
    C’est drôlement joli et très coloré, mais ça grouille de monde…

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  2. ça grouille vraiment... Traverser une rue est un exploit ! (Même si à Hanoï on avait rencontré les mêmes difficultés..) Comme toi, on s'est demandé si la dame cherchait les poux, d'autant qu'on mangeait à la table à côté...

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